Germinal – 1096

C’est bien possible, tout ce que le camarade raconte, et il faudra nous y résoudre, à cette grève, si l’on nous y force… Pluchart, justement, m’a écrit là-dessus des choses très justes. Lui aussi est contre la grève, car l’ouvrier en souffre autant que le patron, sans arriver à rien de décisif. Seulement, il voit là une occasion excellente pour déterminer nos hommes à entrer dans sa grande machine… D’ailleurs, voici sa lettre.