La tête n’a rien, avait repris le docteur, agenouillé sur le matelas de Jeanlin. La poitrine non plus… Ah ! ce sont les jambes qui ont étrenné.
Le site des archives d'Emile Zola
La tête n’a rien, avait repris le docteur, agenouillé sur le matelas de Jeanlin. La poitrine non plus… Ah ! ce sont les jambes qui ont étrenné.