Enfin, monsieur Hennebeau, qui était resté pensif, se leva, pour les congédier. Tous l’imitèrent. Etienne, légèrement, avait poussé le coude de Maheu ; et celui-ci reprit, la langue déjà empâtée et maladroite :
Le site des archives d'Emile Zola
Enfin, monsieur Hennebeau, qui était resté pensif, se leva, pour les congédier. Tous l’imitèrent. Etienne, légèrement, avait poussé le coude de Maheu ; et celui-ci reprit, la langue déjà empâtée et maladroite :