Germinal – 22

Oh ! ce ne sont pas les fabriques qui manquent. Fallait voir ça, il y a trois ou quatre ans ! Tout ronflait, on ne pouvait trouver des hommes, jamais on n’avait tant gagné… Et voilà qu’on se remet à se serrer le ventre. Unevraie pitié dans le pays, on renvoie le monde, les ateliers ferment les uns après les autres… Ce n’est peut-être pas la faute de l’empereur ; mais pourquoi va-t-il se battre en Amérique ? Sans compter que les bêtes meurent du choléra, comme les gens.