Germinal – 242

Zacharie, les bras mous d’une noce de la veille, lâcha vite la besogne en prétextant la nécessité de boiser, ce qui lui permettait de s’oublier à siffler doucement, les yeux vagues dans l’ombre. Derrière les haveurs, près de trois mètres de la veine restaient vides, sans qu’ils eussent encore pris la précaution de soutenir la roche, insoucieux du danger et avares de leur temps.