Ecoute, en voilà assez… Tu as tes idées, j’ai les miennes. Je suis entré chez toi, pour te montrer que je t’estime quand même. Mais je pense toujours que, si nous crevons à la peine, nos carcasses d’affamés serviront plus la cause du peuple que toute ta politique d’homme sage… Ah ! si un de ces cochons de soldats pouvait me loger une balle en plein cœur, comme ce serait crâne de finir ainsi !