Germinal – 484

Malgré le calorifère qui chauffait toute la maison, un feu de houille égayait cette salle. Du reste, il n’y avait aucun luxe : la grande table, les chaises, un buffet d’acajou ; et, seuls, deux fauteuils profonds trahissaient l’amour du bien-être, les longues digestions heureuses. On n’allait jamais au salon, on demeurait là, en famille.