Dame ! je suis bousculé avec les camarades, par cette saleté de crise… Ah ! nous payons les armées prospères ! On a trop bâti d’usines, trop construit de voies ferrées, trop immobilisé de capitaux en vue d’une production formidable. Et, aujourd’hui, l’argent dort, on n’en trouve plus pour faire fonctionner tout ça !… Heureusement, rien n’est désespéré, je m’en tirerai quand même.