Ancien surveillant au Voreux, il avait débuté par une étroite cantine ; puis, grâce à la protection de ses chefs, son commerce s’était élargi, tuant peu à peu le détail de Montsou. Il centralisait les marchandises, la clientèle considérable des corons lui permettait de vendre moins cher et de faire des crédits plus grands. D’ailleurs, il était resté dans la main de la Compagnie, qui lui avait bâti sa petite maison et son magasin.