Le cheval était parti, le charretier disparut a son tour, d’un pas traînard d’invalide. Près du culbuteur, le manœuvre n’avait point bougé, ramassé en boule, enfonçant le menton entre ses genoux, fixant sur le vide ses gros yeux éteints.
Le site des archives d'Emile Zola
Le cheval était parti, le charretier disparut a son tour, d’un pas traînard d’invalide. Près du culbuteur, le manœuvre n’avait point bougé, ramassé en boule, enfonçant le menton entre ses genoux, fixant sur le vide ses gros yeux éteints.