Germinal – 972

Puisque la Compagnie prétend qu’elle nous laisse libres, répétait-il, que craignons-nous ? Nous n’avons que ses pensions, et elle les distribue à son gré, du moment oùelle ne nous fait aucune retenue. Eh bien ! il serait prudent de créer, à côté de son bon plaisir, une association mutuelle de secours, sur laquelle nous pourrions compter au moins, dans les cas de besoins immédiats.