La Débâcle – 1055

Mais il s’expliquait mal, confusément, et le lieutenant, qui ne connaissait pas le pays, ne pouvait le comprendre. Aussi haussait-il les épaules, pris d’impatience, plein de dédain pour ce bourgeois en paletot et en lunettes, qui voulait en savoir plus long que le maréchal. Irrité de l’entendre redire que l’attaque de Bazeilles n’avait peut-être d’autre but que de faire une diversion et de cacher le plan véritable, il finit par s’écrier :