La Débâcle – 1082

En effet, l’ennemi devait préparer une nouvelle attaque, car la fusillade redoublait et le sifflement des obus ne cessait plus. Deux déjà étaient tombés sur la route, à une centaine de mètres ; un autre venait de s’enfoncer dans la terre molle du jardin voisin, sans éclater.