Le général Douay était resté, en avant de son état-major, seul et les regards au loin, sur les positions prussiennes, dans une rêverie d’une infinie tristesse. Longtemps, il examina le Hattoy, dont les obus tombaient à ses pieds. Puis, après s’être tourné vers le plateau d’Illy, il appela un officier, pour porter un ordre, là-bas, à la brigade du 5e corps, qu’il avait demandée la veille au général de Wimpffen, et qui le reliait à la gauche du général Ducrot. Et on l’entendit encore dire nettement :