Sa chemise avait glissé, une de ses épaules était nue, d’une chair rose et fine, sous les mèches éparses de la noire chevelure ; tandis qu’une odeur pénétrante, une odeur d’amour s’exhalait de son réveil.
Le site des archives d'Emile Zola
Sa chemise avait glissé, une de ses épaules était nue, d’une chair rose et fine, sous les mèches éparses de la noire chevelure ; tandis qu’une odeur pénétrante, une odeur d’amour s’exhalait de son réveil.