La Débâcle – 1685

Cette peine semblait augmenter encore la douleur grandissante qui lui tordait l’estomac. La bête, en lui, se révoltait : il était à bout de force, il se mourait de faim. Sa vue se troublait, il n’avait même plus conscience du danger où se trouvait le régiment, depuis que la batterie avait dû se replier. D’une minute à l’autre, des masses considérables pouvaient attaquer le plateau.