Mon colonel, s’écria le capitaine Beaudoin, sans attendre l’avis de son chef, il faut fusiller une demi-douzaine de ces bandits.
Le site des archives d'Emile Zola
Mon colonel, s’écria le capitaine Beaudoin, sans attendre l’avis de son chef, il faut fusiller une demi-douzaine de ces bandits.