En effet, Dubreuil s’était résigné, la veille, à emmener sa femme et ses enfants à Bouillon, dans la certitude du désastre qu’il prévoyait. Pourtant, la maisonn’était pas vide, une agitation s’y faisait remarquer de loin, à travers les arbres. Comme la jeune femme se hasardait dans la grande allée, elle recula, devant le cadavre d’un soldat prussien.