Dès lors, ni Maurice ni Jean n’obtinrent qu’elle se tint à l’abri, immobile. Elle se remuait, avançait la tête, voulait quand même regarder vers le petit bois, dans une préoccupation constante. Eux, tiraient toujours, la repoussaient du genou, quand elle se découvrait trop. Sans doute, les Prussiens commençaient à s’estimer en nombre suffisant, prêts à l’attaque, car ils se montraient, un flot moutonnait et débordait entre les arbres ; et ils subissaient des pertes terribles, toutes les balles françaises portaient, culbutaient des hommes.