Ah ! ma pauvre, pauvre chérie, que je m’en veux de n’avoir pas plus de courage pour te consoler !… Ce bon Weiss, ton mari qui t’aimait tant ! que vas-tu devenir ? Toujours, tu as été la victime, sans que jamais tu te sois plainte… Moi-même, t’en ai-je causé déjà du chagrin, et qui sait si je ne t’en causerai pas encore !