Mon Dieu ! puisque ça te rend service, je veux bien tout de même, je te prends… Mais, quant aux gages, faudra n’en parler que lorsque la guerre sera finie, car je n’ai vraiment besoin de personne, et les temps sont trop durs.
Le site des archives d'Emile Zola
Mon Dieu ! puisque ça te rend service, je veux bien tout de même, je te prends… Mais, quant aux gages, faudra n’en parler que lorsque la guerre sera finie, car je n’ai vraiment besoin de personne, et les temps sont trop durs.