Maurice lui-même, raffermi depuis qu’il avait rejoint les camarades, ne souffrit guère que des musiques prussiennes, qui jouèrent tout l’après-midi, de l’autre côté du canal. Vers le soir, il y eut des chœurs. On voyait, au-delà du cordon des sentinelles, les soldats se promenant par petits groupes, chantant d’une voix lente et haute, pour célébrer le dimanche.