La Débâcle – 2561

Je t’assure, il faut que je parte… On m’attend, je mourrais d’angoisse, si je ne partais pas… Tu ne peux t’imaginer ce qui bouillonne en moi, à l’idée de me tenir tranquille. Je te dis que ça ne peut pas finir ainsi, qu’il faut nous venger, contre qui, contre quoi ? ah ! je ne sais pas, mais nous venger enfin de tant de malheur, pour que nous ayons encore le courage de vivre !