Voyons, tu vas déjeuner avec nous… Mais, auparavant, causons. Tu dois avoir tant de choses à me dire !… Je sais que tu es sans nouvelles de ton frère. Hein ? ce pauvre Maurice ; comme je le plains, dans ce Paris sans gaz, sans bois, sans pain peut-être !… Et ce garçon que tu soignes, l’ami de ton frère ? Tu vois qu’on m’a déjà fait des bavardages… Est-ce que c’est pour lui que tu viens ?