Si, si, ça vaut mieux, il le faut !… Ah ! va, ce n’est pas grand-chose de bon qui s’en ira avec moi. Avant la guerre, je t’ai fait tant de peine, j’ai coûté si cher à ton cœur et à ta bourse !… Toutes ces sottises, toutes cesfolies que j’ai commises, et qui auraient mal fini, qui sait ? la prison, le ruisseau…