Et Maurice, à ce moment, au fond de l’ombre frissonnante, eut la conscience d’un grand devoir. Il ne cédait plus à l’espérance vantarde de remporter les victoires légendaires. Cette marche sur Verdun, c’étaitune marche à la mort, et il l’acceptait avec une résignation allègre et forte, puisqu’il fallait mourir.