Dès le réveil, chaque matin, Honoré allait voir sa pièce, la faisait, sous ses yeux, essuyer de la rosée de la nuit, comme s’il eût bouchonné une bête aimée, par crainte des rhumes qu’elle pourrait prendre. Et il était là, paternellement, à la regarder luire dans l’air frais de l’aube, lorsqu’il reconnut Maurice.