La Débâcle – 502

Ah ! mon enfant, dans quel affreux moment faut-il qu’on se retrouve !… Je la lui aurais donnée bien volontiers, ma maison, à l’empereur ; mais il a, avec lui, des gens trop mal élevés ! Si vous saviez comme ils ont tout pris, et ils vont tout brûler, tant ils font du feu !… Lui, le pauvre homme, a la mine d’un déterré et l’air si triste…