Nous avons vu les canons, affirma le Provençal. Et il faut que ces bougres-là soient des enragés, pour les risquer dans les chemins de la forêt, où l’on enfonce jusqu’au mollet, à cause de la pluie de ces derniers jours.
Le site des archives d'Emile Zola
Nous avons vu les canons, affirma le Provençal. Et il faut que ces bougres-là soient des enragés, pour les risquer dans les chemins de la forêt, où l’on enfonce jusqu’au mollet, à cause de la pluie de ces derniers jours.