Peut-être bien tout de même qu’ils l’auront trop vue, l’armée, et qu’ils ne se sont pas amusés beaucoup ; car, dès trois heures, on ne pouvait plus circuler sur les routes, tant elles étaient encombrées de soldats qui fuyaient.
Le site des archives d'Emile Zola
Peut-être bien tout de même qu’ils l’auront trop vue, l’armée, et qu’ils ne se sont pas amusés beaucoup ; car, dès trois heures, on ne pouvait plus circuler sur les routes, tant elles étaient encombrées de soldats qui fuyaient.